REDD : le retour !!!

Là, c’est avec un IMMENSE plaisir que je vais vous parler de pure audiologie prothétique, rien que pour nous les Zodios !

Vous le savez si vous lisez un peu le blog de l’audioprothèse et le blog de l’audiologie prothétique, je m’intéresse depuis des années (avec mes collègues Clément, Sébastien, Brice, Nadège, Alexandre, Stéphane, Céline, etc.) aux risques pour l’audioprothésiste et son patient de la conversion entre les niveaux d’émission (les dB HL) lors de l’audiométrie et les niveaux de réception (en dB SPL au tympan) du patient.

Une surdité, pour l’audioprothésiste, ne devrait pas s’estimer en dB HL, mais plutôt en niveau de pression au tympan nécessaire pour que notre patient entende (ou n’entende pas).

Les risques

Cette conversion HL/SPL est très hasardeuse si elle est laissée à la seule appréciation des statistiques; ce hasard étant de l’ordre de 5dB dans le cas d’une audiométrie aux inserts, 10dB ou plus dans le cas du casque, et jusqu’à 20dB pour les petits enfants testés au casque.

Voici le REDD des étudiants en audio (2A) de Bordeaux l’année dernière, obtenus via le casque :

Et les mêmes, testés via inserts :

Je pense que les données parlent toutes seules quant au “risque” pris avec le casque dans les aigus. D’où l’intérêt de savoir ce qui se passe en fond de conduit.

L’histoire jusqu’à nos jours

Avec de nombreux collègues, tout au long de ces dernières années, nous avons prêché autant que possible pour l’usage des inserts en audiométrie prothétique, parce qu’elle permettait ensuite la mesure du RECD, étape de conversion (ou “fonction de transfert”) des dB HL en SPL au tympan.

Mais l’arme ultime de cette conversion restait le REDD. En français : Real Ear Direct Dial, ce qui se traduit approximativement en béarnais par “Lecture directe en fond de conduit et dB SPL des niveaux émis en dB HL par l’audiomètre”. En clair, un patient répond “j’entends” à 65dB HL@3kHz, la sonde de mesure in vivo mesure directement 73dB SPL au tympan; REDD = 73 – 65 = 8dB ici. REDD = différence des niveaux atteints et émis, en dB.

Et tout s’enchaîne : au lieu d’établir au audiogramme on établit un SPLoGramme, le travail se fait alors sur cette base, avec au final, la sensation de ne pas appareiller l’audiomètre, mais plutôt le patient !

Magique ? Avant-garde ? Et bien non ! Il y a plus de 15 ans c’était possible en routine avec l’ancien Aurical/Aurical + !! Un de mes premiers articles sur le blog… nostalgie !

Et depuis…. plus rien, sauf une mesure plus complexe (plus chronophage en fait) avec le RECD. Que ce soit chez GN-Otometrics, puis Natus ou chez Interacoustics, malgré des demandes répétées depuis de nombreuses années, la mesure du REDD n’a pas été ré-intégrée ni mise à disposition.

Et je re-découvre avec bonheur (calme toi Xavier, pense à ton coeur !) la possibilité de refaire à nouveau des mesures REDD. Que vous travailliez au casque, aux inserts, il est désormais possible de transformer vos dB HL audiométriques directement en dB SPL au tympan.

Suspeeeeeeense….

Il va pour cela falloir investir un peu, dans ce qui est une des meilleures chaînes de mesure (et uniquement de mesure) à l’heure actuelle : l’Audioscan Verifit2.

Voici la bête :

Elle est autonome et ne fait que de la mesure (in vivo et au caisson). Mais elle le fait bien, et en binaural (y compris au caisson, avec un bi coupleur).

Et entre autres mesures avancées, elle permet avec sa récente mise à jour de mesurer le REDD afin de calculer le SPLoGramme.

Pour rappel :

dB HL (même d’un audiomètre mal calibré) + REDD = dB SPL tympan

Le REDD en pratique via Verifit2 et n’importe quel audiomètre, au casque ou aux inserts

Etalonnage et proximité du tympan

Ouvrir Verifit2 dans, ou hors Noah, et étalonner les sondes de mesure in vivo :

Placer les sondes de mesure in vivo dans les CAE, en s’assurant bien qu’elles sont très proches des tympans, et ce afin d’être sûr de la précision de la mesure à 6 et 8kHz. L’outil de placement de sonde permet de s’en assurer jusqu’à 12500Hz :

Quitter le module Verifit2.

L’étape audiométrie

Les sondes de mesure in vivo correctement placées dans les CAE, placer les mousses des inserts ou le casque :

Réalisez votre audiométrie comme d’habitude, mais sondes in vivo en place :

Etape REDD

Une fois l’audiométrie réalisée, enregistrez puis quittez le module audiométrie dans Noah et ouvrez le module Audioscan Verifit2 dans Noah.

En parallèle et en dehors de Noah (via le module Standalone de l’audiomètre, c’est à dire par Windows), ouvrez le module audiométrie.

Verifit2 vous affiche alors cela, sélectionnez “Mesure” à l’onglet REDD (mettez “Casque” même si vous avez utilisé les inserts, mais peu importe casque ou inserts, les dB HL seront convertis de la même façon en dB SPL au tympan) :

Ensuite, côté audiomètre, envoyez des sons purs non pulsés à 70dB HL de 250 à 8000Hz :

De manière totalement automatique, Verifit2 calculera le REDD à chaque fréquence et un un petit “dông” vous gratifiera d’une mesure correcte et vous pourrez passer à la fréquence suivante :

Dans ce cas précis, le REDD est obtenu sur base inserts, d’où la différence avec le statistique (“Average Adult” casque).

Conversion et mesures

Une fois les REDD mesurés le SPLoGramme est ensuite calculé automatiquement, les réglages peuvent commencer :

Conclusion

Je ne boude pas mon plaisir de pouvoir refaire si facilement une mesure de REDD qui était devenue impossible depuis Aurical+ il y a quelques années.

La mesure en elle-même prend 2 minutes. La gymnastique logicielle est simplissime.

Ou comment obtenir des seuils fiables au tympan (que vous utilisiez le casque ou des inserts !), un ciblage initial précis et rapide, et au final, une réelle satisfaction patient.

Cette mesure prendrait-elle tout son sens en 2021 s’il faut aller vite, et bien ?

Bonne année 2021 à toutes et tous !

17 commentaires sur “REDD : le retour !!!

    1. Yes, I do !!
      Tant mieux si ça rend service. Petite pensée également du côté de la Bretagne où je sais que la nouvelle était attendue par deux ex-fans du REDD Aurical+ Ils se reconnaîtront 😉

  1. Magnifique, quel beau cadeau de cette fin d’année…Merci Xavier….
    Depuis que l’on demande la réinstoration de l’audiométrie SPL dans nos machines du quotidien….
    Et oui tu as raison, c’est dans les vielles casseroles que l’on fait….
    on passe pour des vieux, mais il ne faut jamais dire jamais…on va les retaner.
    enjoy this last 2020 day’s… see you !

    1. Merci David !
      C’est bien, tu as vu qu’on s’enthousiasmait pour un truc qui existait il y a déjà 20 ans !
      Mais on va prendre, c’est effectivement une très bonne nouvelle. D’autant que la machine a bien d’autres cordes à son arc.
      Belle année 2021 à toi.

  2. Article interessant.
    J’ai suivi ma formation au CANADA sur des machines électroacoustiques de la marque audioscan.
    La pratique que l’on m’a enseignée avec un Vérifit 2 est la suivante:
    -Mesure du WRECD chez chaque patient (tous, tous, tous ^^)
    -Mesure de 3 niveaux REAR (55,65;75 dBSPL)
    -Mesure du RESR et vérification que les crêtes du LTASS 75 ne touchent pas les MPO pour éviter d’entrer en saturation sur les sons forts.

    La mesure du WRECD se fait avec insert et sonde. Il est important d’obtenir la plus grande étanchéité possible. Et le moins d’inflexion possible de la courbe du WRECD en haute fréquence, témoin d’un placement adéquate de la profondeur d’insertion de la sonde.

    Il est important de mesurer le WRECD chez chaque patient de cette façon, car cela permet une conversion des seuils d’audition et des niveaux d’inconforts des dBHL en dBSPL (car REDD=RECD+RETSPL). De plus, cela permet d’améliorer la précision de nos cibles d’appareillage: Plus un WRECD est sous le WRECD moyen, plus la cavité résiduelle du patient est grande et plus cela prendra d’énergie pour atteindre nos cibles d’appareillage et inversement. Ainsi, les cibles sur le SPL-O-Gram sont plus précises que celles des prothèses car celles s’affichant sur le SPL-O-Gram tiennent compte du volume de la cavité résiduelle.

    Si je comprends bien, le Vérifit 2 nous permet désormais de mesurer le REDD. Augmentant d’autant plus la précision de la conversion de nos seuils d’auditions et de nos niveaux d’inconforts des dBHL en dBSPL. Car il n’est plus nécessaire de passer par le RETSPL estimé via la mesure du WRECD. Toutefois il reste selon moi, très important de continuer à mesurer le WRECD car ce dernier a une influence directe sur la précision de nos cibles d’appareillage (importance du volume de la cavité résiduelle). Quel est votre avis là-dessus?

    Est-ce Audioscan qui vous a dit de mesurer le REDD via insert? Les mesures du REDD ont toujours étaient faites sur supra-auriculaire d’où ma question.

    Merci du partage!!!

  3. Bonjour
    La mesure du REDD n’est pas réservée au casque, même si historiquement elle était utilisée avec les casques, et on en comprend la raison lorsque l’on voit les disparités SPL en fond de conduits chez les étudiants dont je présente les mesures.

    Donc le REDD s’applique à toute émission HL dont on veut mesurer le niveau de pression atteint au tympan. C’était d’ailleurs avec les inserts qu’elle était proposée il y a 20 ans sur Aurical/Aurical+.
    A partir du moment où le niveau HL est connu et qu’on y ajoute le REDD, la conversion donne le SPL directement, finalement quel que soit le transducteur. Je tords donc un peu les spécifications Audioscan dans ce domaine.

    Mais le WRECD, pour Audioscan (et pour moi) a d’autres avantages : une mesure possible jusqu’à 12500Hz, et surtout, dans le cas des enfants, une mesure in vivo simulable au coupleur, ce que ne permet pas le REDD.

    L’avantage pour moi du REDD par rapport au WRECD, c’est après calibration des sondes et en étant sûr qu’elles sont suffisamment proches du tympan, de réaliser l’audiométrie sondes en place, avec un éventuel manque d’étanchéité inhérent des fois à l’audiométrie aux inserts (ou à la présence des sondes), puis sans rien enlever, faire en suivant la mesure du REDD et donc estimer du même coup la fuite éventuelle.

    La mesure du WRECD, nécessite d’abord une audiométrie aux inserts, puis dans un second temps d’avoir à replacer la mousse pour la mesure du WRECD, en n’étant jamais sûr de la replacer comme à l’audiométrie, ni d’avoir la même étanchéité.

    Le REDD laisse tout en place pour les deux mesures, gage de robustesse à mes yeux.

    J’espère que j’ai été assez clair…

    Merci à vous.

    1. Un très grand merci pour cette réponse.

      Effectivement, pour l’utilisation du REARS avec les enfants (d’autant plus avec le bi-coupleur inbox) et pour la gamme fréquentielle étendue.
      Merci pour les précisions apportées sur les transducteurs et le REDD.
      Remarque très pertinente concernant la variation de la position et de l’étanchéité de l’insert entre mesure audiométrique et mesure du WRECD. Concernant la question de l’étanchéité de l’insert les dernières recommandations données au congres des audioprothésiste du Québec par l’audiologiste de cette année était de vérifier les seuil à 250 et 500 Hz au supra auriculaire. Mais, à nouveau, que penser du coulage acoustique et de l’amplification en basse fréquence possiblement induite par le casque (sans parler des réponses vibrotactiles induites ou non par le port de lunettes, perruques…) On en fini plus^^ De même que penser de l’état de fatigue, d’attention, et de compréhension d’un patient lors d’un test d’audition et de la qualité de l’évaluateur entre celui qui fait un Hughson-Westlake correct et celui qui y va avec sa méthode sortie de je ne sais où?

      Si on revient au REDD et l’utilisation des intra:
      Est-il possible de faire la mesure du WRECD (insert+sonde) puis d’enchainer directement sur la mesure du REDD (insert+sonde) sans rien toucher au couplage acoustique?

      Dans ma tête, la mesure du WRECD permettrais de vérifier le positionnement de la sonde (profondeur + étanchéité) afin d’obtenir une plus grande précision de la mesure du REDD. Je trouve que l’interprétation de la comparaison entre WRECD mesuré et WRECD moyen est très révélatrice de ces défauts. D’autant plus que le guide sonde informatique ne nous informe pas de la perte d’étanchéité alors que cette comparaison si.

      Selon moi, le WRECD aurait aussi son utilité dans l’affinage des cibles prescritives de part l’information qu’il donne sur le volume de la cavité résiduelle du patient. Surtout en cas de pathologie (perforation tympanique, mastoïdectomie….) et en cas de variation importante du volume du CAE (enfants, gros conduit, petit conduit…)

      Ainsi faire ces deux mesures permettrait d’afficher des seuils et niveaux d’inconforts plus précis en dBSPL et d’avoir une amélioration des cibles d’appareillages.

      Une dernière question: Comment ça se passe pour le masquage des seuils aériens/osseux et pour la mesure des seuils osseux via le vibreur osseux avec le REDD? Est-ce réservé au seuils tonaux? Peut-on vraiment s’affranchir de toute audiométrie classique avec le REDD en cas de perte mixte, conductives, asymétriques nécessitant du masquage et la détermination des seuils osseux?
      Les seuils osseux étant pris en compte dans le calcul des formules prescriptives, il me semble très important de pouvoir en disposer.

      Je n’ai plus accès (à mon grand regret) au Vérifit 2. Le sujet est vraiment très interessant. Un grand, grand merci.

      1. Bonsoir
        La mesure directe du REDD dispense de faire la mesure du WRECD. L’avantage du REDD étant de laisser en place le transducteur, de faire l’audiométrie, et dans la foulée de mesurer le REDD.
        La mesure du RECD/WRECD nécessite de tout enlever (les mousses) après l’audiométrie, et de replacer un autre transducteur avec sa mousse pour la mesure, et sur chaque oreille l’une après l’autre. Et je parle pas de l’étape coupleur à refaire chaque semaine avec Verifit2.
        Je trouve le REDD plus simple, plus direct et “écologique” en temps et moyens : un seul transducteur qui ne bouge pas, donc risques a minima.
        Il n’y a qu’un seuil SPL : le chemin qui y mène peut être différent, HL + REDD ou HL + RETSPL + RECD. Le REDD est le plus court.

        Concernant le masquage, c’est le point faible de la mesure aux inserts. Enlever les mousses ou pas ? Normalement il ne faudrait garder que la mousse de l’insert servant au masking. Il faudrait étudier ces risques d’occlusion bilatérale lors de la CO.

        Sinon, ces sujets avaient été abordés vers 2010 sur ce blog, lorsque nous (des confrères et moi) nous étions frottés à ces sujets des diverses fonctions de transfert HL –> SPL tympan. L’abandon de l’Aurical+ avait été pour moi un petit traumatisme sur le plan audiométrie avec l’abandon du REDD sur inserts, et la nécessité à l’époque de passer au RECD qui n’était pas normé du tout à l’époque et plus ou moins fiable.

        Merci à vous

      2. Bonsoir

        Et un grand merci de prendre le temps.

        Je connais toutes ces conversions.
        Calibrer le coupleur, et les sondes ça prend même pas une minute.
        J’ai bien compris que le REDD nous permettait de nous affranchir du WRECD pour la conversion des seuils. Mais le WRECD nous permet d’avoir des informations concernant le volume de la cavité résiduelle et d’augmenter la précision de nos cibles d’appareillages: WRECD plus bas que le WRECD moyen entraine une augmentation des cibles et inversement. De même un écart aérien/osseux verra une correction vers la hausse des cibles d’appareillages.

        De plus il est tout a fait possible de mesurer le WRECD sans avoir les seuils d’audition. On peut les rentrer ensuite manuellement. Et la machine fait la conversion automatiquement via le RETSPL estimé et tient compte de la variation du volume de la cavité résiduelle.

        Je ne vois pas pourquoi on devrait se priver du WRECD d’autant plus qu’il nous permet d’avoir une information exact sur notre couplage acoustique (étanchéité de l’insert et profondeur d’insertion de la sonde). Pour moi coupler ces deux mesures (REDD et (W)RECD) serait l’idéal pour les pertes neurosensorielles symétriques.
        D’ailleurs quand on regarde vos images du vérifit, le vérifit prends le RECD moyen. Ça doit peut-etre signifier qu’il est possible de le mesurer avant de faire la mesure du REDD?

        Après si je comprends bien la mesure du REDD est limité aux pertes neurosensorielles symétriques.
        Les autres types de perte nécessitant du masquage ou la mesure des seuils osseux, l’utilisation du REDD devient limitée. La mesure du WRECD serait alors la seule valable.

        Apres peut-etre que vous ne travaillez pas avec les cibles affichées par le vérifit mais plus au gain prothétique d’où un intérêt limité de la précision des cibles.

        Merci

      3. Peut-etre que je ne suis pas clair.

        Dans ma tête ça donne ça:
        Mesure (W)RECD OD (Insert+sonde). On s’assure de l’étanchéité et de la profondeur.
        On enlève le transducteur (W)RECD en laissant l’insert en place.
        Mesure OD des seuils directement en SPL avec le REDD (Insert +sonde).

        On place le transducteur (W)RECD OG.
        Mesure (W)RECD OG (insert+sonde).On s’assure de l’étanchéité et de la profondeur.
        On enlève le transducteur (W)RECD en laissant l’insert en place.
        Mesure OG des seuils directement en SPL avec le REDD (Insert +sonde).

        On obtient notre SPL-O-Gram.
        On vire les insert.
        On fait nos mesures REAR et RESR.

        Uniquement pour pertes neurosensorielles symétriques.
        Un peu fastidieux je l’accorde

      4. C’est à peu près la même chose avec le REDD, sauf qu’il n’y a pas d’étape coupleur et que les inserts ne sont pas retirés pour faire le mesure du REDD, contrairement au WRECD.
        J’ai fait (et je continue encore sur Affinity) du RECD/WRECD depuis 2010, mais j’avoue que le REDD via inserts est plus fluide.
        Je pense que beaucoup d’audios préfèreraient cette méthode plutôt que le RECD/WRECD, car ce dernier pour être bien compris nécessite pas mal de bases audiologiques (les coupleurs de calibration, le RETSPL, etc.).

      5. Merci!
        Très beau site au passage. Les articles sont plus intéressant les uns que les autres.

      6. PS:
        Quand je dis perte seulement neurosensorielle symétrique c’est pour simplifier et ne pas dire nécessitant du masquage et la détermination de seuils osseux, je conçois que ce n’est pas toujours vrai…

  4. Xavier,
    Je suis d’accord avec Alexandre.
    A mon âge je n’ai plus les neurones nécessaires pour tout comprendre nettement !
    J’en profite pour te souhaiter ainsi qu’à tous es Zodios une excellente année 2021.
    Au plaisir de te revoir

  5. Est-ce que cette chaîne de mesure est disponible sur le marché français où il faut la faire importer ?

    Je découvre enfin qu’il existe une mesure rapide pour calculer rapidement cette pondération (y calculer à la main en notant les seuils 1 à 1 serait beaucoup trop long en rdv). Bravo pour cet article très explicite, bien que les commentaires en dessous m’aient un peu perdu 😂

  6. Audioscan a été racheté par Interacoustics début 2020. C’est vers eux qu’il faut se tourner pour l’achat en France (ce qui est plus simple que l’achat à l’étranger et une installation par soi même !).

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